La fin des leggings Après l’épisode au niveau d’une taille, nous procédons à un pantalon, qui cette fois approchera le point des morts. Qu’est-ce que « comme » veut dire ? C’est l’image globale que le tissu acquiert lorsqu’il est porté : sa forme, son amplitude, ses plis et sa longueur.
A gauche, ce que nous voyons trop souvent, à droite, ce que nous aimerions voir.
Les déchus : surtout une question de longueur
Pour un bon cas, la première idée est de laisser tomber le pantalon. Le tissu devrait accrocher au lieu de tomber sur la chaussure en tirant le visage, il est donc important de ne pas avoir de pantalon trop long.


Trop longtemps, le tissu s’affaisse sur lui-même, et la jambe est déformée. Source : Flamby Il est rare aujourd’hui de voir des pantalons trop longs, comme c’était il y a dix ans. Avec des pantalons très courts qui révèlent les chevilles, nous sommes allés globalement à l’autre extrême, et ce s’applique également à l’environnement des hommes. Le deuxième cas est esthétiquement meilleur que le premier, parce que le pantalon est tombé, mais à la fois trop long et trop court manipulent la silhouette.




Les pantalons bretelles ont tendance à changer le niveau. L’accessoire est indispensable pour une grande précision de résultat.
Coupes de pantalons


Le principe de mince, au contraire, est de mettre en évidence les fesses, les cuisses, les mollets, et parfois les brûlures. Doit-on vraiment aller vers le pantalon large si nous faisons semblant de faire partie du mouvement sarturial ? Contrairement à ce que vous pourriez penser, la pièce est une minorité dans l’histoire. Les accolades classiques actuelles, les plis et autres normes sont des inventions du XXe siècle. Dans les premiers dandies, et même avant la révolution, les pantalons étaient assez serrés. Ce type de réduction a donc une légitimité historique, et son refus total équivaudrait à résumer le classicisme dans les années 20-30. Le serré n’est pas un problème en soi, le vrai souci est qu’aujourd’hui est généralisée plutôt que de coexister avec les coupes lâches, ce qui conduit à ce qui suit : (1) Des coupes fines ou minces sont appliquées aux types de pantalons qui ne les supportent pas. (2) L’une, bien sûr, tend à se rapprocher de ces réductions, même si elles doivent être évitées.



En raison de la complexité des articulations du pantalon inférieur du corps ont toujours causé des problèmes. La solution la plus pratique est théoriquement de séparer la jambe en deux, par exemple, avec des culottes et des bottes/sangles souples (solution choisie par l’armée pendant la Première Guerre mondiale). Les pantalons du XIXe siècle ont été considérés comme inconfortables, ainsi que ceux du prêt-à-porter actuel, un problème résolu par le pantalon classique grâce à leur généreuse amplitude.
La coupe classique du pantalon
Le pantalon classique, plissé ou plissé, est sans aucun doute la pièce la plus caractéristique du style classique et du mouvement sarturial. Il se compose de plis ou de plis en tissu à l’avant et à l’arrière.



Sur ces pantalons pas de pinces mais un pli très prononcé. Ainsi, à la hauteur de la coupe, le pli avant doit être marqué droit et continu, sans jamais s’estomper sur la cuisse, le pli arrière doit commencer en ligne droite de la fesse à la cheville, et toutes les poches et les accolades doivent être fermées debout.



En hiver, vous pouvez utiliser le bombardier avec un Osez col roulé, qui est niché dans un pantalon en flanelle taille haute. Source : Milad Abedi. Si le pantalon marque les fesses ou les cuisses, les plis et les accolades sont déjà ouverts en position debout, ce qui ruine à la fois leur esthétique et leur effet pratique. Aujourd’hui, nous voyons beaucoup de pantalons plissés qui reviennent dans des coupes fines ou même minces : les plis du milieu se fanent sur la cuisse, tandis que les poches et les bretelles potentielles sont ouvertes en permanence. Certains vont défendre cette vision, je trouve le résultat grotesque de ma part : pour montrer les éléments introduits de cette façon, il y a vraiment un rendu exagéré, j’ai la même impression qu’un mauvais remake d’un film des années 80.

D’un manque de matériel dans les fesses vient souvent le problème : de l’angle des fesses, le pantalon doit passer en ligne continue. Les coupes étroites sont plus étroites à la fois sur la cuisse (la base des fesses) et sur les fesses tournent en eux-mêmes.

Si le pantalon tire trop sur les fesses, les poches s’ouvrent (comme ici à gauche), créant un effet disgracieux. Quoi qu’il en soit, le pantalon sartorial actuel est toujours influencé par ce type de serré. Ils ont souvent tendance à être aussi en forme que possible, en appuyant légèrement sur la forme des fesses (mais sans les marquer complètement comme avec les minces). Le rendu de profil n’est pas le même qu’il était il y a un siècle.

La règle classique est que le pantalon descend en ligne droite de la partie la plus large des fesses. Le Le pli est fermé à l’arrière, formant le soi-disant « drapeau ». Comme sur la photo, aujourd’hui beaucoup de pantalons ont tendance à être aussi en forme que possible. Source : Zane Lim
La coupe des autres pantalons




Ici, les chinos sont suffisamment adaptés. Source : Bernard Zins.

Fold Appeal est une pratique de marketing qui consiste à rendre les vêtements présentables lorsqu’ils sont pliés. Il pressa le pantalon pour redresser (et donc serré) sur les hanches. Dans le cas de coupes étroites, la Les pantalons suivent idéalement la cuisse sans les mettre trop en évidence pour maintenir une ligne logique et ne pas créer une tension excessive. Un haut étroit sur la jambe en conjonction avec un fesses lâches est disgracieux.



Grâce à sa toile épaisse, les jeans peuvent être très appropriés et en même temps conserver une apparence assez uniforme. Une source : @david_park07 Si le pantalon plat n’a pas de plis ou de clips, il a encore des poches qui s’ouvrent, surtout si elles sont trop est serré. Une astuce dans ce cas est de choisir des chinos avec des poches de pull au lieu de poches obliques. Le montage horizontal empêche l’ouverture en cas de tension.


Sur les pantalons classiques, ils peuvent apporter une variation subtile. Source : Ambrosi/L’Armurerie. Après tout, avec l’excès de graisse, deviennent des cuisses imposantes ou une posture de jambe « anormale » (arquée ou ajustée) se déforment, le pantalon se déforme et ne fait pas une belle jambe. Dans ce cas, il est préférable de donner la préférence aux coupes larges.

Évitez de porter une veste avec un chino ou un jean à combiner avec une coupe trop taille. Le décalage dans la structure et l’amplitude peut provoquer une rupture trop importante dans la ligne de silhouette. Sur un pantalon plus large, la figure est à nouveau nivelée. Source : Giovanni Antonio.
Ouverture de cheville



Si le pantalon est trop serré en haut (souvent au genou), le bas peut être complètement repoussé : dans ce cas, la partie inférieure forme une sorte de « éperon », le pantalon ne couvre plus la chaussure, mais est plaqué à l’avant de la cheville. Porter des chaussures longues devient problématique, car le bas du pantalon ne joue plus son rôle.
trouve
Il est difficile de faire une vérité générale sur la coupe du pantalon même du point de vue de ces armes. L’idéal est d’avoir une coupe qui respecte votre morphologie (taille, corps, cuisses fines ou musclées, taille des pieds, muscles fessiers parlés ou non, posture…) et ensuite chercher la consistance. De manière cohérente, nous entendons qu’une veste texturée (par exemple) est mieux adaptée aux pantalons amples avec des clips français, dont le rendu est un peu enflé. Si vous voulez des clips sur un pantalon plus approprié, préférez clips italiens, et si Si vous voulez un pantalon encore plus ajusté, donnez la préférence aux pinces sans crainte qu’elles ne s’ouvrent pas. Les pantalons décontractés sont mieux capables de résister aux fantasmes de la coupe et du matériau que les pantalons formels. Avec un jean ou un chino, vous pouvez vous permettre de le couper assez court, faire un revers à la main, le porter assez ajusté ou très lâche… et le reste doit être cohérent, par exemple, une veste complètement non structurée, qui est légèrement plus courte que la norme, si le pantalon est suffisamment assis et leur taille, bien sûr, bas est (un ajustement de la veste longue. mieux pour un pantalon taille haute). De la même manière, selon le matériau, vous devez être guidé par telle ou telle coupe : pantalon en matériau lourd mieux résister à une coupe lâche avec une longueur qui fera une belle cassante, tandis qu’une coupe ajustée est inconfortable et donne une forme de tire-bouchon inesthétique fragile. D’autre part, un matériau fin supporte mieux une coupe ajustée et une brûlure au sol ou une coupe assez courte (le fragile sera disgracieusement un matériau léger). De même, une paire de mocassins soutiendra le pantalon raccourci beaucoup mieux, puisque les deux sont associés à la relaxation estivale. Si vous prévoyez de garder votre pantalon pendant une longue période, essayez de rester près des canons classiques, plutôt que de faire face aux extrêmes qui seront plus forts dans leur mode.
Trouver plus de produits La Bonne Coupe
La Good Cup 1 : Survivre aux tranchées Sur la longueur du trench, sa flexion, la position de la ceinture et des boutons… rejoignez nos amis chez BonneGueule 🙂 The Good Cup 2 : Rides votre pantalon Début d’une série d’articles qui traitent des différents aspects de la coupe du pantalon, pointant vers des problèmes récurrents avec le doigt, en commençant par la hauteur du pantalon. Résumé : faible Les tailles sont merdes ! La Good Cup 3 : La fin des leggings Nous procédons au pantalon, cette fois approchant du point du déchu, c’est-à-dire l’attrait général que prend le tissu : sa forme, son amplitude, ses plis et ses salongers.





